Doutes et anxiété
L’angoisse liée à cet examen concerne une malformation éventuelle. Cette petite révolution qu’est la grossesse a tendance à semer le trouble. Or aujourd’hui, aux réflexions de l’entourage s’ajoutent souvent la lecture de sites Internet et la pratique des forums, qui peuvent amplifier vos inquiétudes. Deux conseils : faites-vous confiance et dialoguez avec le corps médical dans son ensemble.
Une respiration perturbée
Vous sentez que vous vous essoufflez plus vite et plus fréquemment ? C’est dans l’ordre des choses car en grossissant, l’utérus repousse la masse abdominale vers le haut, qui appuie sur le diaphragme et diminue le volume de votre cage thoracique. De plus, vos organes travaillant davantage, vous rejetez plus de gaz carbonique. Mettez-vous donc d’ores et déjà à pratiquer les exercices respiratoires spécifiques à la grossesse et à l’accouchement.
Réguler ses envies alimentaires
Votre appétit s’emballe et vous cédez à chaque fringale en vous disant « c’est pas grave, je mange pour deux » ? Veillez tout de même à respecter les règles que vous vous êtes fixées au départ et à ne pas dépasser la prise de poids mensuelle indiquée par votre médecin.
Non seulement le grignotage et les sucres rapides risquent d’engendrer un diabète, mais sachez aussi qu’une prise de poids trop importante génère un risque accru d’accouchement difficile.
Fuir les risques d’infection urinaire
Une alimentation équilibrée vous évitera également les infections urinaires, fréquentes au cours de la grossesse, car un régime sain préserve la neutralité du pH de vos urines. Vos reins travaillent beaucoup afin d’éliminer les toxines ainsi que les déchets du fœtus qui augmentent à mesure qu’il grandit. De surcroît, la progestérone freine la fonction rénale. C’est pourquoi vous devez surveiller l’activité de vos reins et boire beaucoup d’eau.
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